Est-ce que parfois vous crevez de faim sans réel motif ? Il s’agit de food craving ou bien le désir incontrôlable de nourriture. Ce phénomène atteint les adolescents ainsi que les adultes. Quelles sont les raisons ? Que faire pour soulager cette envie bizarre ? Comment l’éviter ? Ô Magazine vous donne quelques astuces et conseils. Allez ! Les estomacs qui gargouillent, cet article est pour vous !
Food craving : « J’ai faim. J’ai FAIM. J’ai FAAAAIM ! »
Est-ce qu’il vous est arrivé de crever de faim sans un réel motif ? Est-ce qu’il vous arrive d’avoir un insoutenable désir de nourriture ? Cependant, je ne parle pas de gourmandise ordinaire. C’est tout à fait normal d’aimer la bonne cuisine de maman ou celle d’un bon restaurant. Mais avoir tellement faim que vous êtes obligées d’arrêter vos activités, ça n’est pas normal du tout ! En outre, cela n’aide pas à rentrer dans notre maillot de bain et vivre sereinement notre été à la plage . Nous sommes en train de parler de food craving, littéralement de la dépendance aux aliments.
La différence, en effet, entre la faim biologique et le craving concerne le type de nourriture et le moment de la journée où notre corps la désire. Quand on a tout simplement besoin de manger, nous dirigeons notre envie vers ce que nous avons dans le frigidaire. Peut-être un bon plat de pâte à la bolognaise, ou un petit sandwich ou encore une salade ? Nous allons à table ou nous faisons un petit break au travail et c’est tout. Par ailleurs, crever de faim nous oblige à satisfaire cette envie dans un moment précis. Mais ce n’est pas tout…
« J’ai faim MAINTENANT et je ne veux QUE ça ! »
Je sais les filles, il semble le discours d’un adolescent gâté et mal élevé. Cependant c’est exactement cela que notre cerveau nous dit quand survient le food craving. Nous avons une envie de nourriture que nous n’arrivons pas à contrôler. Il ne s’agit pas de la nourriture en général, mais d’une en particulier. Pourquoi ? Ce phénomène vient du mental et peut affecter les jeunes comme les adultes. Plutôt démocratique, n’est-ce pas ? C’est notre esprit notamment qui nous pousse envers cette envie d’une chose précise à manger et tout de suite.
Peut-être a-t-on eu une journée épuisante au travail ou avons-nous des difficultés dans notre famille ? Le food craving empoisonne notre cerveau et notre estomac en lui commandant de manger tout de suite du chocolat. Vous voyez ? Ce sont les émotions telles que la rage ou la tristesse que nous font choisir d’avoir envie de sucre, de sel et de graisse. Nous n’avons pas réellement besoin d’eux mais les manger semblera satisfaisant. En somme, nous avons une gratification immédiate (mais temporaire) à la suite d’une situation de malaise. Mais, quels sont les risques ? Que faire pour soulager cette envie ?
Food craving : les risques, les astuces et les choses à éviter
Ce n’est pas un mystère si on vous dit que le risque le plus important du food craving est l’obésité. Si notre cerveau vit une situation de stress, notre impulsion sera de manger et manger et encore manger. Sans parler d’autres maladies comme le cholestérol et le diabète, liées à l’absorption de graisses saturées.
Étant donné que le food craving vient de notre mental, il nous faut savoir comment faire pour le contrôler. En effet, savoir éviter les pièges n’est pas suffisant, il faut aussi savoir comment réagir !
Voici nos astuces
- Éviter la restriction qui est un puissant activateur de la perte de contrôle. Plus on limite notre apport calorique, plus on est poussé envers l’envie de nourriture. Par ailleurs, ce qu’on doit faire c’est se concentrer sur une alimentation rassasiante qui nous sauvera de food craving ;
- Ne pas exclure la nourriture à risque : eh bien oui ! Ça ne sert à rien d’éviter complètement la nourriture dont on rêve toujours. De fait, éloigner une pensée de toutes nos forces, la rend encore plus puissante ! Donc, il vaut mieux limiter la quantité de chocolat, de frites etc. plutôt que de les supprimer radicalement.
Nous espérons que cet article vous a plu, les filles. Nous avons hâte de lire vos témoignages en commentaire. Et rappelez-vous : auprès la gym, apprenons à entraîner notre cerveau aussi contre le food craving.
Maintenant, veuillez me pardonner si je vous quitte, j’ai besoin d’une crêpe bretonne… OUPS !