Interview de la chanteuse Sheli-Rose

Interview de la chanteuse Sheli-Rose

Nous vous présentons Sheli-Rose, jeune chanteuse qui a déjà sorti quelques singles dont Yesterday et Jeune. À tout juste 22 ans, cet artiste a déjà de beaux projets et de belles expériences à son actif. Nous avons eu le plaisir d’échanger avec elle. Nous avons parlé de musique, de ses projets ainsi que de ses collaborations les plus marquantes. Une chose est sûre, Sheli-Rose ne compte pas s’arrêter là et est bien décidée à se faire une place dans le monde de la musique.

Ô Magazine. Bonjour Sheli-Rose ! Est-ce que tu peux te présenter ?

Sheli-Rose. Alors, je m’appelle Sheli-Rose, j’ai 22 ans. Je suis chanteuse, musicienne et compositrice.

Ô Magazine. Est-ce que tu peux nous expliquer l’origine de ton nom de scène ?

Sheli-Rose. Sheli-Rose, Rose c’est mon deuxième prénom et Sheli c’est mon prénom. Donc du coup, c’est tout simple !

Ô Magazine. Est-ce que tu peux nous raconter tes débuts dans la musique, comment tu as commencé ?

Sheli-Rose. J’ai commencé parce que mon papa me faisait écouter beaucoup de sons, genre de la Bossa Nova. Donc j’étais plus dans la danse, et ça a été hyper varié. Mes grands-parents me faisaient écouter de la musique orientale. J’étais fan de show, grande fan de Dalida, genre j’étais complètement passionnée par ça. J’ai commencé à écrire mes chansons vers 15/16 ans et j’ai fait une école de musique ensuite et après et je me suis lancée.

Photo de presse Sheli-Rose tenue nude
Crédit : Delphine Loizeau

Ô Magazine. Quand tu as compris que tu étais faite pour la musique, tu t’y es donné corps et âme ou tu as été un peu plus modérée et tu as continué tes études en parallèle ?

Sheli-Rose. Non, je ne suis pas quelqu’un d’hyper modérée je l’avoue (rires). Donc non pas du tout, je me suis lancée direct et j’ai fait des études, mais dans la musique.

Ô Magazine. Quelles sont les études que tu as faites dans la musique ?

Sheli-Rose. J’ai fait une école de Jazz, et j’ai rencontré tous les musiciens avec qui je joue, en partis, aujourd’hui. Et ça s’appelle l’IMEP à Paris.

Ô Magazine. Tu chantes, tu écris, tu composes, est-ce que tu joues aussi d’un instrument ?

Sheli-Rose. Je joue du piano et de la guitare.

Ô Magazine. Et ces instruments te servent pour composer tes morceaux ?

Sheli-Rose. Ouais, surtout le piano, c’est vraiment mon instrument préféré ! J’y joue tous les jours. Je kiffe !

Ô Magazine. Quelles sont tes inspirations musicales, qu’est-ce qui t’inspire justement pour écrire et composer ?

Sheli-Rose. Ben ça, c’est assez varié. Je suis une grande fan de Stromae. J’adore en fait quand le texte est fort et que ça bouge, j’adore. Après j’aime les artistes un peu plus soul, jazz, style Amy Winehouse. Et comme je t’ai dit, je suis une grande fan de Dalida depuis que j’ai 5 ans. Et tous les artistes actuels, genre Angèle, Camille Lellouche que j’aime beaucoup aussi.

Ô Magazine. Avec qui tu aimerais, ferrais un duo dans le paysage musical, parmi tous les artistes qui puissent y avoir ?

Sheli-Rose. Un duo ? Ben franchement Stromae, ça serait mon rêve absolu. Genre vraiment ça serait un grand kiff pour moi. Et j’aime beaucoup le rap donc, comme ça, Lomepal. Lomepal ça me dirait grave.

Photo de presse Sheli-Rose portrait
Crédit : Delphine Loizeau

Ô Magazine. Tu chantes en anglais et en français, c’était un choix de travailler ces deux aspects ou c’est venu de manière naturelle ?

Sheli-Rose. En fait, j’ai commencé par l’anglais mais aujourd’hui je préfère vraiment chanter en français. Parce que comme j’écris mes textes, je t’avoue que c’est beaucoup plus simple pour moi de m’exprimer en français, vu que c’est ma langue natale.

Ô Magazine. C’est vrai qu’à tes débuts tu chantais en anglais, c’est parce que c’était des covers ?

Sheli-Rose. Oui, en fait on a commencé mon projet à partir des voix prises en anglais et français. Avant de chanter en français, j’étais beaucoup plus pudique dans mes textes, tu vois. Et l’anglais c’était plus une pudeur pour moi, qu’autre chose. Quand j’ai commencé en français, ça a été par des reprises comme L’amour à la plage ou Laissez-moi dansez et avec ça, du coup, je suis beaucoup moins pudique sur ce que j’écris.

Ô Magazine. Est-ce que tu peux nous parler de ta série de covers Who’s Sheli-Rose et nous expliquer comment t’est venu l’idée et ce que ça a changé dans ta carrière ?

Sheli-Rose. Quand j’ai commencé la série de covers c’était vraiment pour montrer aux gens mon univers. Ce qui était hyper cool, c’était de prendre des titres assez connus comme L’amour à la plage, par exemple où Drunk in Love de Beyoncé et d’en faire un titre complètement différent. Mais vraiment à ma sauce et c’est pour ça que ça s’appelle Who’s Sheli-Rose, parce que c’est complètement des sons à la Sheli-Rose. Et ce que ça a changé, il y a une cover qui m’a particulièrement servie c’est Drunk in Love, qui est toujours sur Youtube. Parce que ça a permis aux gens de découvrir ma voix, de découvrir ce que je faisais de ce titre-là, qui est quand même, beaucoup plus dansant à la base. Et donc après ça m’a lancé sur mes textes en français.

Ô Magazine. C’était ta manière de t’introduire dans le paysage musical ?

Sheli-Rose. Ouais exactement c’est ça ! C’est ça.

Ô Magazine. Tu as fait une première partie de Maître Gims, est-ce que tu peux nous expliquer comment ça s’est fait et comment toi tu as vécu l’expérience ?

Sheli-Rose. J’ai fait un titre avant un live qu’il donnait. C’est pour un événement qui qui s’appelle I am not a rapper de Eleven Paris. Et c’était une super expérience parce que déjà c’était un peu une de mes premières vraies scènes. Donc j’en garde un super souvenir et ça m’a confirmé le fait que j’adore la scène et que je voulais en faire ma vie !

Ô Magazine. Ça s’est passé au début de ta carrière ?

Sheli-Rose. C’était juste avant la série de covers et oui ça a été, ça a marqué un moment de mon début de carrière parce que c’était mes premières scènes, mon premier gros événement avec des artistes connus etc. Et ça m’a beaucoup plu.

Ô Magazine. Tu as créé ta propre structure, est-ce que tu peux nous expliquer de quoi il s’agit.

Sheli-Rose. On a créé un label avec mon manager Maxime, qui s’appelle Demain Musique et du coup on a lancé le premier projet de ce label, qui est mon dernier single qui s’appelle Jeune.

Ô Magazine. Quels sont vos projets avec ce label ?

Sheli-Rose. Moi, après j’aimerais aussi qu’on trouve et qu’on suive de nouveaux artistes, qu’on les accompagne avec ce label. Ça c’est une ambition future mais c’est dans nos têtes.

Photo de presse Sheli-Rose tenue bleu
Crédit : Delphine Loizeau

Ô Magazine. Et est-ce que toi tu projettes dans un futur proche ou lointain de sortir ton premier album ?

Sheli-Rose. Là pour l’instant c’est surtout des sorties single. Mais bien sûr que je pense à une sortie d’album, ça serait un vrai rêve pour moi d’en faire un. Je n’ai aucune idée de quand ça arrivera, mais c’est dans ma tête, ça c’est sûr !

Ô Magazine. C’est en projet, en tout cas tu installes tout pour pouvoir justement sortir ce premier album.

Sheli-Rose. Exactement, c’est vraiment ça. Je sors surtout des singles pour montrer aux gens mon univers dans sa totalité. Et pour me faire connaître parce que j’ai envie de sortir un album avec du public et une communauté plus large. C’est exactement ça, c’est vraiment pour prendre plus de place et partager avec les gens ce que je fais.

Ô Magazine. Tu as collaboré avec Kickers et Americain Vintage, dis nous en un peu plus ?

Sheli-Rose. Kickers et Americain Vintage, c’est les deux marques qui m’ont accompagné pour le clip de Jeune. On peut les voir sur les tenues de Poupée. Avec Kickers on s’est rencontré par Instagram et ils ont suivis direct le projet. C’est une super marque tout comme Americain Vintage. Kickers m’a découvert sur Yesterday c’est un single que j’ai sorti en janvier dernier et ils nous ont suivis sur Jeune. En plus les poupées c’était parfait pour placer ce genre de vêtement et les chaussures de Kickers parce que justement il y avait tout un stylisme autour de chaque poupée. C’était ça qui était cool à exploiter.

Ô Magazine. Ce sont deux marques sur lesquelles tu peux t’appuyer et avec lesquelles tu peux travailler ?

Sheli-Rose. Oui, oui, exactement et puis, je trouvais ça vraiment cool de travailler un stylisme avec ces deux marques. C’est deux marques que j’aime beaucoup, donc ça collait parfaitement.

Ô Magazine. Est-ce que tu as un petit mot pour la fin ?

Sheli-Rose. J’espère que la suite vous plaira ! Et follow me on Instagram ! C’est surtout le mot de la fin, Follow Me on Instagram (rires), c’est Sheli-Rose et voilà !

Merci pour cette interview, nous te souhaitons de belles choses pour la suite et on espère te revoir très vite !

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