Resto : Norbert reste en altitude La Haut

Resto : Norbert reste en altitude La Haut

Panorama de perspectives sur le restaurant La Haut de Norbert (Suresnes). Qui y va le midi ? Qui y va le soir ? En quoi Norbert est-il responsable de notre plaisir ? Est-ce qu’on y mange suffisamment pour avoir un plaisir profond ?

La Haut, en journée

En journée les cadres viennent y négocier des contrats juteux perchés dans un lieu amical avec un chef de prestige télévisuel pour une cuisine gourmande et des vins qui aident à la signature. Ou bien, plus souvent, ils viennent avec des potes en chemise bleu ciel et ils diront qu’ils étaient avec un client en présentant la note de frais à la RH.

La Haut, en soirée

En soirée les familles bien élevées y viennent, parfois sur deux ou trois générations, passer un véritable bon moment. Il y a une bonne cuisine dans un lieu cosy, parfaitement ouvert sur leur monde. Nous dînons agréablement comme au milieu des petites maisons maintenant bourgeoises qui se bousculent sur l’horizon dressé des tours de La Défense.

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Et mon bonheur

Et moi, en soirée, je dégustais chaque plat en compagnie d’un Saint-Chinian et d’un amical ami avec lequel nous échangions quelques paroles descriptives de nos belles et bonnes assiettes, en contemplant cette vue qui résumait notre moment de bonheur. Nous étions accolés à un mur dégagé en altitude de Paris. Contemplant les lumières et leurs reflets sur building. Observant les couloirs de teintes jaunes des façades et de leurs petites fenêtres, se creusant dans les rues de la ville.

Norbert est le sympathique franc-parler de la cuisine. Il fait rire, il est un petit peu charmant, il a de beaux yeux, il est le bon copain du samedi… Il n’était que ça jusqu’à ce qu’il se révèle dans Top Chef. De là, il nous a épathé avec de vrais bons plats que l’on peut maintenant déguster, les uns après les autres, dans un charmant menu bien pensé. Ce soir il n’est pas en cuisine. Il sait travailler en équipe. Il envoie les meilleurs cuistots au coup de feu. Si je n’avais pas si bien mangé, j’aurai repris du Paris-Brest. Rien qu’en y pensant je salive de tout mon corps.

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